Pour Zbidi, le dysfonctionnement institutionnel voulu a largement contribué au blocage et à l’anarchie

Une fois élu à Carthage, Abddelkarim Zbidi s’engage à introduire devant l’ARP un projet de révision constitutionnelle. « En optant pour ce système politique censé être parlementaire aménagé, nous nous sommes en fait retrouvé avec un parlementarisme complexe et compliqué, et ce n'était pas innoncent », affirme-t-il, citant nombre d’exemples édifiants. « Le pouvoir s’est disloqué, ajoutera-t-il, éparpillant le pouvoir entre trois parties, sans qu’aucune n’en soit effectivement responsable. Cette situation a largement contribué au blocage des décisions et à l’instauration d’une anarchie sans cesse aggravée, en plus de l’affaiblissement périlleux de l’Etat. Cela ne saurait durer plus longtemps. »

Sa préférence est nette: un régume présidentiel fort. C'est la doctrine BCE.

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