Farès Sanchou rejoint le cabinet de Youssef Chahed à la Kasbah
L’équipe du chef du gouvernement se renforce avec l’arrivée à la Kasbah de jeunes compétences tunisiennes, de différentes spécialités. C’est ainsi qu’après la désignation de Hédi Mekni en qualité de directeur de cabinet, et de Lotfi Bensassi, nommé conseiller, Farès Sanchou rejoint le cabinet. Ingénieur diplômé de l’Ecole centrale de Paris, il était rentré en Tunisie au lendemain de la révolution en 2011, pour intégrer en tant que Manager le cabinet de conseil EY (anciennement Ernst and Young).
Particulièrement intéressé par la digitalisation du tissu économique, il s’est spécialisé dans les projets de transformation digitale, auprès d’opérateurs de Télécommunications en Tunisie et dans le Maghreb, où il a construit des stratégies et feuilles de routes de digitalisations (à travers des canaux diversifiés : site web, réseaux sociaux, smartphone, kiosques...) et leurs mise en œuvre sur les années à venir. Il a également conduit l’élaboration des « Plateformes de Pilotage de la Performance » au sein de grands groupes Tunisiens, afin d’y mettre en place des tableaux de bord managériaux (Dashboard).
Farès Sanchou intègre le cabinet de Youssef Chahed, avec comme vision de partager une culture pragmatique tournée vers la performance, et la digitalisation, héritée du monde du conseil. Il entend capitaliser sur son expertise dans la digitalisation, le pilotage de la performance, et les projets de transformations globaux, pour accélérer la mise en place des objectifs prioritaires du Chef du Gouvernement.
Avant de rentrer en Tunisie, Farès Sanchou avait débuté sa carrière en France, dans le conseil en management et fait ses classes chez Unilog Management travaillant sur des projets de transformations des Systèmes d’Informations (SI) et notamment des ERP. De nombreuses multinationales françaises feront notamment appel à ses compétences dans ce domaine (Veolia, AirLiquide, Yves Saint Laurent..).
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La revolution a été faite par des jeunes et il est normal que des jeunes soient associés á la construction du pays et de la democracie. Seulement il ne faut pas oublier qu´on affaire á des hommes et femmes et non seulement á des systemes, comme c´est le cas dans des anciennes démocraties. Dans ces derniers les gens savent d´ avance ce qu´on va faire, mais en Tunisie cela demande des discussions avec les gens, et il faudrait qu´il comprennent qu´il y question de construire une autre vie, et non pas seulement de l´entretenir comme c´est le cas dans les anciens pays, En somme il faut que le politicien ou le ministre doit être un vrai nationaliste, non extreme, mais nationaliste quand meme, de gauche ou de droite. C´est ce que demandent d´ailleurs les peuples d´Europe et d´Amerique á leurs politiques de l´être. On dit qu´on a perdu 5 ans, oui mais comment, c´était parce qu´on esperait que les "autres" nous fassent le travail et apportent une solution á nos problèmes. Le mone a changé et il n´ya plus de guerre froide. Obama a inauguré la nouvelle doctrine, c´est de faire payer les victimes les frais des conflits qui resultent de la rivalité avec la Russie. Comme c´est le cas en Syrie en ce moment, Ce son les syriens qui payent les frais de la guerre, et cela est un choix de l´Amerique. Je ne sais pas si Mr. Poutine s´attendait á ca, à mon avis lui il aurait voulu une confrontation avec l´Amerique.
