Kébili : les dirigeants régionaux d'Ennahdha et du CPR obligent le gouverneur à quitter son poste
Le gouverneur de Kébili, M. Salah Sebaï a été contraint mardi sous la pression de «représentants de la société civile» à quitter son poste par une porte dérobée et sous la protection de l’armée. Une information tout à fait banale par les temps qui courent sauf que parmi les citoyens qui réclamaient sa démission, il y avait, selon le correspondant de Shemsfm, les responsables régionaux d’Ennahdha et du CPR.
Que reprochait-on au gouverneur ? « Son incapacité » à résoudre les problèmes de la région, et notamment l’emploi et sa tendance à prendre des décisions unilatérales.
Pour sa part, le gouverneur estime qu’il n’a rien à se reprocher et ne compte pas démissionner.
- Ecrire un commentaire
- Commenter
Nous allons vers le chaos . La Société civile doit bouger très rapidement et contrer systematiquement toutes les actions visant à detruire tout ce qui a été patiemment realisé par un gouvernement de transition composé de partiotes devoués à la cause publique et au triomphe de la democratie .
La contradiction entre le titre et le contenu de l'article est évidente.Ce n'est pas ça la presse objective que nous espérons après la révolution.
Voila maintenant que Ennahdha et le CPR devancent les évènements et veulent montrer leur solidarité avec la population afin de sauver leur popularité. Il aurait été plus facile de démettre le gouverneur de ses fonctions. Ne sont-ils pas les gouvernants du pays ?! Des clowns !
Le Gouvernement doit faire quelque chose, sinon c'est la catastrophe, il faut mettre fin à des agissements inconsidérés de la part de ces grévistes qui attentent à la liberté du travail,et qui ne laissent même pas le temps au gouvernement d'entammer son travail,embaucher des chômeurs, et mettre de l'ordre dans la maison Tunisie, ces grévistes vont l'encontre de leur intérêt, et l'intérêt du pays, à mon avis laisser le gouvernement travailler, et si rien ne se concrétise d'ici les six mois de trève demandée par Monsieur le Président, alors là, on peut de nouveau redescendre dans la rue, pour l'instant un peu de patience mes chers compatriotes, n'oubliez pas que le monde entier nous regarde, et beaucoup des investisseurs étrangers anttendent le calme dans notre pays, si ces grévistes entendent la voie de la raison et de la sagesse,et commencer à travailler dans les entreprises qui seront crées rapidement par le gouvernement, notre pays sera parmi les meilleurs pays du monde, si ce n'est pas le meilleur, alors du calme mes chers frêres et relevez les barrages immédiatement si vous aimez notre pays la Tunisie,
Tout à fait de votre avis Dr DJERIDI. Si j'en dit plus et pourquoi, ma mince contribution à votre libération ne sera pas publiée. Bon courage à tous
Il aurait dû porter une BURQA en allant bosser !! c'est tout ! Avec Ennahdha , Bonjour les dégâts = Bourguiba doit se retourner dans sa tombe !
Voilà ce qu'est devenue la Tunisie : un pays de non-droit où l'on ne respecte plus aucune autorité !
Tout à fait d'accord avec l'avis du Dr DJERIDI. Mais en plus, comme la quasitotalité des medias, Leaders tarde à faire sa propre révolution. J'estime que l'attente du tunisien aprés la révolution, est une information objective, fiable et impartiale. Malheureusement ce n'est pas encore le cas, quand je regarde l'article publié par Sana Ghenima à titre d'exemple, dans la rubrique OPINIONS de Leaders intitulé < 14 Janvier 2012 premier anniversaire de la révolution ou journée de deuil national de la femme tunisienne >, j'ai l'impression que cette bonne femme parle de la situation de la femme afghane et non tunisienne, et qu'elle a raté un certain 23 Octobre 2011 et même plus de 50 ans d'evolution continue de la femme tunisienne, en somme, une fausse image de la réalité de la femme en tunisie qu'affiche Leaders au monde entier. Leaders n'a pas jugé utile d'ajouter mon comentaire, j'espère qu'elle le fera cette fois-çi.
