News - 20.08.2019

Comment les funérailles de Béji Caïd Essebsi ont été organisées

Comment les funérailles de Béji Caïd Essebsi ont été organisées

Comment ont été organisées les funérailles du président Béji Caïd Essebsi ?
Invité de l’émission Midi Show sur Mosaïquefm, l’amiral Kamel Akrout, premier conseiller auprès du président de la République  pour la Sécurité nationale a déclaré : « Nous avons suivi la procédure prévue dans l’armée pour les obsèques du commandant suprême des forces armées». Il a ajouté que des réunions ont été tenues au niveau de la présidence du gouvernement mais à aucun moment les détails des obsèques n'ont été abordés, ni par le chef de Gouvernement, ni par les ministres. Ce fut également le cas selon l'amiral pour l'itinéraire emprunté par le cortège funéraire, le contact avec les foules, les volets officiel et familial qui ont été traités par  les parties qui ont veillé à l'organisation des funérailles   

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3 Commentaires
Les Commentaires
hedli marie france - 21-08-2019 09:59

jai été vraiment très émue lors du cortège funéraire de notre cher et regretté président Beji caïd essebsi c'était immense grandiose des funeraille digne d'un grand homme paix à son âme paix à l'âme de bourguiba et paix à l'âme de mes parents que toutes ses personnes que je viens de citer repose en paix

Abel Chater - 21-08-2019 11:29

C'est ce que j'écris tout le temps. Les États-majors de notre armée nationale ont tout fait, ont tout préparé et ont tout réalisé avec leur élégance hiérarchique n'appartenant qu'aux armées les plus professionnels de ce monde, afin que l'enterrement du président Béji Caïd Essebsi soit de cette excellente réussite de haut niveau international. Leur vient le ministre de la Défense nationale, Abdelkrim Zbidi en fin des préparations, juste au moment où les caméras sont autorisées à filmer, pour nous surprendre par son comportement, complètement inattendu et humiliant pour n’importe quel ministre ayant un chef cabinet et un grand staff à ses ordres. Zbidi se transforma en le dirigeant d’entreprise funéraire (pompes funèbres), par des gesticulations et par des mimiques, tout en criant devant les caméras, dans le seul but d’attirer l’attention sur sa propre personne, et de voler le show et les acquis, aux Etats-majors de notre armée nationale, source de toute la réussite de ce premier évènement que la Tunisie indépendante n’ait jamais vécu. Je fus étonné et je l’ai écrit tout de suite après, sans avoir pensé pour une seule fraction de seconde, qu’Abdelkrim Zbidi faisait son propre show de basse facture, en préparation à sa candidature aux élections présidentielles. J’espère de tout cœur, qu’il n’aura que peu de voix aux prochaines élections présidentielles, afin qu’il reste un exemple pour les prochaines élections d’après. Vive notre armée nationale. Vive la Tunisie démocratique arabe et musulmane

Abdelhamid Trabelsi - 21-08-2019 14:17

Je relève dans cette déclaration cette phrase : "des réunions ont été tenues au niveau de la présidence du gouvernement mais à aucun moment les détails des obsèques n'ont été abordés, ni par le chef de Gouvernement, ni par les ministres". Est-ce que l'Amiral Akrout peut nous dire à quoi ont servi toutes ces réunions ? Une occasion pour boire du thé ? Il rajoute en plus que ce fut "l'armée qui s'est occupé du contact avec la foule" comme si tous ces policiers que nous avions vus le long du trajet n'ont fait que de la figuration, et "s'est occupé des volets officiel et familial". Sans commentaires. Là je pense que c'est trop exagéré. De son côté la garde républicaine, qui elle dépend uniquement de la présidence de la république, avait annoncé au lendemain des funérailles que c'est elle qui avait organisé les funérailles. Un peu de modestie Messieurs ! Personne ou aucune institution ne pouvait tout faire tout seule. Chacun avait un rôle à jouer et chacun avait à s'occuper de la responsabilité qi lui incombait. Personnellement je pense que ce fut comme au théâtre. Tout était préparé à l'avance et chaque acteur avait un rôle à jouer. Je pense également que ce fut au CDG qu'incombait la responsabilité de jouer le rôle de metteur en scène pour coordonner, non d'improviser ou d'imaginer et de débloquer les moyens matériels ? Mais ce furent les acteurs qui sont montés sur les planches et à qui nous devons toute la reconnaissance : l'armée, la police, la garde républicaine, les services du protocole, tous les ministères en particulier ceux des affaires étrangères et de la santé et même les Municipalités des communes traversées par le convoi.

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