Tunisie : la révolution dévoyée
Liberté
Prospérité
Egalité
Conclusion
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Monsieur Gellaty,la revolution est l´effort de certains illuminés qui acceptent le martyr, dans notre cas Bouazizi qui a mis le peuple devant un choix decisif. Le peuple l´a comprit et a agi en consequence. La france et sa Revolution a eu aussi ses auteurs eminents. Mais si le peuple comprend il lui manque le courage,( a part les casseurs) et il a fallut un siècle pour que la democratie en France monte á la surface et devient objet de revolte. La Tunisie ne fait pas exception et doit aussi connaitre le pourquoi de la revolution, c´est á dire les problèmes concrêts: l´enseignement, le travail, la santé et l´économie etc..La dictature n´a pas enseigné au peuple commen il doit critiquer, c´est pourquoi le peuple utilise la métaphore, la litote etc..Dans tous les cas c´est une grande erreur de quitter la transition vers la democratie. Ca sera une partie remise mais c´est aussi absurde. Il faut aider donc á aller de l´avant. Si j´ai bien compris, il manque de l´argent. Avant l´arrivé de cet argent par bateau ou par avion il ne se passerait rien. Mais en même temps bientôt il va y avoir des élections legislatives, et on verra comment le peuple votera.
COMME TOUJOURS AVEC SI GUELLATY UNE REFLEXION JUSTE ET UNE PLUME EN OR !
sombre tableau, mais juste analyse! N B Debba
Mourad Guellaty excelle dans la maîtrise de son sujet.Tous est vrai, y compris cet acharnement que nos compatriotes ont a tout casser! FRM
Une explication didactique simple et juste, avec une question en fin de tribune qu'on devrait tous se poser: sommes nous mieux aujourd'hui qu'il y a huit années? N SKANDRANI
il est important après ce constat de demander à l'auteur de nous dire comment remettre la pays sur les rails et entamer une reconstruction nécessaire!
Que faire pour remettre la Tunisie sur ses pieds.Quant à la révolution qu'en reste t-il.......? Chakib ben Mohamed!
C'est un diagnostic juste et triste, mais que faire?? Emna Mamoghli
Pour faire réussir l’après révolution, il faut commencer par chasser les brebis égarés du monde politique et médiatique. Elles font trop de mal au présent et hypothèquent l'avenir, par l'exemple qu'elles donnent aux nouvelles générations! Le courage politique c'est bien de se débarrasser de ces donneurs d'exemples, de mauvais exemples! Montassar Jamil Elabidinne
C'est tous les efforts et les espoirs des gens du printemps arabe qui sont en voie d’être enterrés, en raison du retour des politiciens au rancart qui reviennent se refaire une virginité. Pitié pour la Tunisie! Montassar Ouali
Un diagnostic sans concession de ces années de braise! Touhami TAKIEDDINE
Cette courte tribune dépeint une réalité que les tunisiens ne cessent de vivre, sans trouver le mode d'emploi d'une résurrection. Que faire?
Une révolte sans changement de structures économiques et sociales, reste une révolte qui finira par se consumer et non une révolution.Nous sommes hélas en pleines révoltes sans effort particulier pour les structures. Zeineb Essia Maatoug (Bruxelles)
Les propos désabusés d'un homme mesuré.C'est bien ce que traduit cette opinion juste et belle! Brahim Naccache
Nous sommes dans la destruction méthodique de tout ce qui a été construit depuis 2011! A qui la faute? A nous tous, pauvres enfants à qui un jouet a été offert, et que n'avons pas su nous en servir! Que faire? Se calmer un peu, beaucoup et suivre les conseils des ainés, de notre pays et d'ailleurs! NB
Une tribune qui reflète lna réalité de ce parcours révolutionnaire semé d’enbuches! NB
Excellent dans le fond et la forme !! Mathilde
Avons nous eu une révolution? Et qu’en est elle aujourd’hui ? Rien de rien! Béa Limaiem
Un message en forme d’avertissement. Le pays s’enfonce trop pour espérer qu’il se relève vite! Jhene Landoulsi
Dommage, dommage pour ce ratage que vit la Tunisie. Naoufel
Malheureusement, c’est la triste réalité de notre pays qui est dépeinte dans ce texte. Nous sommes passés à côté de quelque chose de grand. Mais le méritions nous?
C’est malheureusement vrai, une révolution qui a vite été confisquée par les professionnels du désordre public, moral et intellectuel, c’est une une révolution dévoyée.
Excellent pour Mourad et pour Leaders qui publient des tribunes critiques, dans un pays qui se cherche, mais où la parole est d'or. Mireille Lancelot
Étonnamment juste, étonnamment vrai ! cette révolution dévoyée va nous renvoyer à la figure tout ce que nous avons fait pour qu'il en soit ainsi! MA DALI
Un texte rare parceque sans complaisance et sans excès! Jamila
sombre tableau, excessif même! Manoubi El Ajili
Que faire ? C'est la vraie question qu'on se pose.Il est vrai que les évènements de dec.- janvier 2011 ont permis à la Tunisie de découvrir son peuple et ses élites. Point d'imagination, ni de courage, encore moins de labeur, des déficits de vérité, d'intégrité, de loyauté et un surplus d'envie :celle de prendre d'assaut le pouvoir et l'argent. Les moyens importent peu. Trois présidents, sept chefs de gouvernement n'ont pu remettre la machine sur les rails. Ce qu'il faut à CETTE TUNISIE, un ETAT employeur de douze millions de fonctionnaires. Même ainsi, les syndicats se mettront en marche pour revendiquer des augmentations et surtout des promotions. Imaginez, un ETAT avec douze millions de directeurs, bientôt des directeurs généraux et pourquoi pas des ministres. Sont-ils moins méritoires que ceux qui sont en place ? Toutes les richesses de la planète ne suffiront guère à altérer la soif des tunisiens. La révolution est une chance et non une thérapie à nos maux. Cette chance , nous l"avons ratée par les fortes pressions exercées sur le pouvoir qui se disperse au point que ce vecteur a condui,tout le peuple, droit à la dépression. Les slogans scandés : jeunes/vieux, liberté/opression, riches/pauvres, chefs d'entreprises/employés...etc ne peut qu'attiser le feu qui s'est déclaré dans la cabane. A. MADELAIN avait écrit un livre : quand les autruches relèveront la tête. A nous d'ouvrir nos yeux et de réaliser que le pays n'est pas riche pour éradiquer tous ses maux, mais il peut l'être par ses hommes et femmes qui devraient se remettre au travail en retroussant les manches. Le gouvernement et notamment son chef devraient écouter l'élite économique pour créer une économie de guerre avec moins de généraux et plus de soldats, avec un préalable, l'impérieuse nécessité de tracer un chemin carossable, éclaré, sans détour, et on finira par arriver à bon port.
Très vrai. Situation intenable!
Très vrai. Situation intenable! Vivement le sursaut libératoire de tous.