Quand Mohsen Marzouk retrouvre Réjim Maatoug après une absence de 32 ans
C’est à Réjim Maatoug à quelque 600 kilomètres de la capitale que Mohsen Marzouk à lancé sa campagne électorale. Ce choix n’est pas fortuit. C’est là, dans les années 80, que les autorités envoyaient les étudiants contestataires. Parmi eux, un certain Mohsen Marzouk, alors étudiant. Trente-deux années plus tard, il revient en tant que chef de parti et candidat à l’élection présidentielle à cet endroit complètement transfiguré grâce à l'armée. C'est aujourd'ui une ville de 7000 habitants dotée de toutes les commodités. Un message d'espoir que Marzouk nous livre.
Sur la photo, Marzouk, à gauche accompagné d'un autre ex contestataire, Lazhar Akremi, (au milieu).
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Bon, petit rappel à celui qui a rédigé l'article: Mohsen Marzouk a 54 ans aujourd'hui, sur la photo je trouve qu'il fait plus que 4 ans :)
il nous pousse à le choisir par passion ou pour leur histoire il y'a 30 ans, alors qu'on veut croire à un avenir meilleur
Cette photo m'inspire le devoir de témoigner,par ces qq lignes,de la qualité humaine de ces hommes aussi représentatifs de leur génération .Un témoignage périphérique et forcément incomplet . J 'étais à cette époque Commandant du Régiment Territorial Saharien et il m' a été donné de recevoir ces jeunes et brillants étudiants au début de leur séjour à Rgim.Ils étaient beaux,intelligents mais avec un brin récalcitrant.