Yassine Brahim : L’Etat tunisien doit-il garder encore Tunisair, Agil et autres compagnies non-stratégiques ?
Cession d’actifs : y compris dans des banques publiques
PPP : Commencer par les projets publics
Identifiant unique et ciblage de la compensation : qui freine ?
Hypothèses et objectifs du gouvernement: réalistes et réalisables ?
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Yassine Brahim, lorsque tu as été le ministre du développement, de l’investissement et de la coopération internationale, tu as laissé beaucoup des plumes aujourd'hui, tu as laissé beaucoup des plumes, ajour d'hui tu es un spectateur et tu déviens le médecin de toutes les maladies, je vous prie que tu te référeras à ton CV je suis sûr que tu vas jeter ton bâton magique avec toutes ses analyses non fondées et solutions magiques aussi, enfin les véritables compétences se montrent sur le terrain et non sur les plateaux, bonne chasse poure ce qui tu traces !
La vente de l'actif n'est pas efficace et ne seras jamais une solution pour l'Etat tunisien Il faut d'abord aimer la Tunisie et la protéger ensuite il faut la refonte du systeme fiscal et organisationnel du payer et penser à la nouvelle gestion budgetaire de l'Etat tout en créant un climat afficace pour encourager l'investissement étranger direct.
Yassine Brahim a parlé sans réfléchir assez profondément à ce qu'ill allait dire : s'il y a bien une entreprise publique fondamentalement "stratégique", c'est bien Tunisair ! Assez de ces pseudo-dirigeants politiques qui baissent trop rapidement pavillon devant les manoeuvres des spéculateurs, nationaux ou internationaux ! Les retards qui handicapent l'activité de Tunisair d'une manière aussi caricaturale ne vont pas tarder à tirer l'action de Tunisair jusqu'au fond des abysses, mais ce n'est pas une raison valable pour aller tout bonnement offrir Tunisair à ces sangsues sans foi ni loi !
Pour sauver l’entreprise de cette perspective il faut défendre ses propres salariés qui doivent devenir des propres membres, c’est un changement structurel destiné à sauver la dimension industrielle productive et l’esprit même de l’entreprise. C’est la seule alternative car il n’y a que de cet espace pour une politique audacieuse et efficace, car réguler l’économie n’est pas une affaire de doctrine mais d’abord une question de courage .Les capacités prédictives de nos analystes économiques, financiers et des sondages d’opinions sont manifestement limitées, la raison en est sans doute le conflit d’intérêt qui préside aux financements de ces institutions