Des intellectuels tunisiens appellent à soutenir la candidature de M. Béji Caid Essebsi
Nous, les intellectuels tunisiens, engagés dans l’action pour le rassemblement des forces démocratiques et progressistes pour les prochaines élections législatives et présidentielles, déclarons ce qui suit :
- Nous enregistrons avec regret la multiplication des listes partisanes et indépendantes pour les législatives, qui risque de désorienter l’électeur et d’altérer la crédibilité du processus électoral.
- Nous estimons que l’enjeu décisif de la construction d’une alternative démocratique met l’ensemble des forces patriotiques devant ses responsabilités historiques, notamment celles de la construction d’un large front autour de la défense de l’Etat civil, du modèle sociétal moderniste, démocratiques et de justice sociale revendiqués par le peuple.
- Nous considérons que la Tunisie a besoin d’un président fédérateur qui soit à même d’incarner les aspirations légitimes du peuple tunisien, qui représente les idéaux et des valeurs de la République et qui redonne à la Tunisie sa place et son rayonnement parmi les Nations du Monde. Cette exigence risque d’être vidée de son contenu par de nombreuses candidatures aussi peu crédibles que dispersives.
- Nous déclarons notre soutien à la candidature de Béji Caid Essebsi à la magistrature suprême car il est l’homme de la situation et représente la personnalité politique la plus apte à répondre aux défis de la situation actuelle.
Vive la Tunisie, souveraine et démocratique
Les premiers signataires :
- Fethi Ben Slama, psychanalyste, France
- Abdelhamid Larguèche, Historien, Tunisie
- Raja ben Slama, écrivaine, psychanalyste, Tunisie
- Ridha Chennoufi, Philosophe, Tunisie
- Hamadi Redissi, Historien, Tunisie
- Dalenda Larguèche, Historienne, Tunisie
- Abdelwahed Braham, écrivain, homme de Lettres, Tunisie
- Malika Ouelbani, Philosophe, Tunisie
- Med.Hédi Trabelsi, ancien doyen de la Faculté des Lettres de Manouba
- Hatem Mrad, politologue, Tunisie
- Mounir Khlifa, Professeur de littérature anglaise, Tunisie
- Abdelkarim Allagui, Historien, Tunisie
- Ridha ben Rejeb, Historien, Tunisie
- Fadhel Jaziri, artiste
- Ecrire un commentaire
- Commenter
je pense que nos intellectuels ont oublié que le pouvoir du président dans la nouvelle constitution est assez limité. L'élaboration et la mise en oeuvre des politiques publiques qui touchent directement les citoyens tunisiens et qui déterminent l'avenir du pays est entre les mains du parti qui aura la majorité dans la nouvelle assemblée et qui désigne le premier ministre.
Je signe la pétition pour soutenir la candidature de BCE à l'éléction présidentielle
Je soutiens la candidature de Monsieur Beji Caïd Essebsi
Il est vrai que le président, dans la nouvelle constitution, a peu de pouvoir exécutif, mais comme l'a montré notre actuel président temporaire, il garde quand même un grand potentiel de nuire, avec les nominations (ou véto sur les nominations) au niveau de l'appareil sécuritaire et du corps diplomatique. Il ne faut pas oublier non plus que le nouveau président sera élu par le peuple directement, et aura donc beaucoup plus de poids que l'actuel temporaire.
N'en déplaise à beaucoup, Béji Caïd Essebsi, reste, et de loin seul homme politique capable de sortir le pays de l'enlisement généralisé dans lequel il s'est englué, suite à la gestion catastrophique de la maudite troïka pendant près de trois années ?
on comprend maintenant pourquoi l universite de dakar nous depasse dans le classement des universite
Pourquoi pas s'il avait 20 ans en moins Soyons sérieux, une société qui met en avant ses vieux regarde vers le passé et n'a pas de perspectives d'avenir
il faut battre Ennahdha en votant pour El Bégi, ainsi on peut sauver la Tunisie qui risque de sombrer dans le terrorisme
sachant parfaitement que les prerogratives du president sont limites, je pense que beji gaid essebsi est le seul parmis les candidat a pouvoir influencer le travail du gouvernement en raison de son experience et de ses relations internationals sans commune mesure avec les autres candidats.
Pas encore finis les "mounachadats", vous êtes tous les mêmes!!!!!!!!!!!!
Je suis d'accord avec notre maitre, mais j'aurai voulu que M. Beji aurai cédé la place à M. Nabli qui pourrait avec sa dynamique aider le pays à sortir de l'impasse dont il se noie depuis 4 ans.
je soutiens la candidature de bejbouj parcequ'il est le patriotique de la petite tunisie qui connait bien l'histoire du pays et les sacrifices des peres fondateurs de la tunisie moderne les limites de la cooperation internationale et la valeur du travail pour le progres social culturel et economique et du modele de societe bien tunisien .
Pourquoi ce mouvement de soutien ? laissez faire le mérite et le peuple tunisien n'a pas besoin de tutelle ou de conseil... de grâce laissez-nous décider
J'espère que cette liste n'est exhaustive .On remarque d'emblée un manque cruel de "techniciens" dans les domaines comme l'économie,les finances,la technologie...
En effet, c'est la raison qui l'emporte, nous n'avons plus le choix, tout est clair et net, ce qui pourra nous faire sortir de la situation actuelle qui est encore difficile, c'est bien si El Béji Caied Essebsi, il faut etre réaliste, fini les sentiments, il faut bien se rassembler maintenant, la main dans la main et votons dans l'intéret du PAYS et le bien pour les TUNISIENS.
Médecin exerçant en France, je voudrais signer cette pétition.
je suis faible en maths mais je n'ai pas pu calculer le pourcentage des intellectuels par rapport au peuple tunisien ; aidez moi (11)divisé par 11millions=0,0000000000000000.......ha ha ha ......
Je signe la pétition pour soutenir la candidature de BCE à l'éléction présidentielle
quelques opportunistes qui soutiennent un ancien et vieux antidémocrate, bourguibiste, n'est pas le bon choix, pour la Tunisie post révolutionnaire , la révolution a profité aux islamistes dans un premier temps,et le retour des anciens chnocks , n'annoncent rien de bon.
je signe la pétition pour soutenir la candidature de BCE à l'éléction présidentielle
oui pour une Tunisie Démocrate