Ali Mhiri
Il était Professeur de Sciences du sol et environnement à l’INAT jusqu’en 2002.
Il est agronome (INAT), licencié (ancienne licence) en Sciences de la terre et chimie minérale (Faculté des sciences de Tunis), titulaire du Certificat de microbiologie du sol (Institut Pasteur de Paris), du DEA de Sciences de la terre : géodynamique externe (Sorbonne), du Doctorat de 3e cycle en pédologie (Sciences du sol, Sorbonne)) et du Doctorat d’Etat Es-Sciences (Sorbonne).
A l’INAT où il a fait sa carrière universitaire et créé le « laboratoire de Sciences du sol », Il a conduit de nombreux projets de Recherche sur les ressources en sols de Tunisie, sur leur fertilité, sur les divers processus de leur dégradation et leurs pertes, ainsi que sur les méthodes et techniques de leur bonification, de leur exploitation et de leur mise en valeur agricole. Cela lui a permis de développer de nouveaux concepts et approche dans l’étude des impacts de l’agriculture sur les sols (approche holistique de la restauration des sols exposés à l’érosion hydrique, concept de la salinisation des sols par endoréïsation anthropique sur le long terme…). Il a été pendant de nombreuses années lecteur de nombreuses revues nationales et internationales et évaluateur des projets de recherche de diverses institutions nationales de l’Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique ‘’, Il est devenu ensuite consultant international en développement agricole, en gestion des ressources naturelles et en diagnostic agri-environnemental, auprès des organismes de développement agricole et de mise en œuvre des Conventions des Nations Unies sur la gestion durable des ressources naturelles, issues du premier Sommet de la Terre (Rio, 1992).
Il a fait de nombreuses publications scientifiques dans des revues nationales et internationales et capitalisé son expérience dans plusieurs livres en tant que co-auteur (les Montagnes de Tunisie- L’homme peut-refaire ce qu’il a défait ?- la fertigation) et auteur du livre « l’agriculture tunisienne à la croisée des chemins, quelle vision pour une agriculture durable ? » (Août, 2018).
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