Une demie heure au moins de perdue chaque jours aux portes de Tunis : est-ce une fatalité ?
Les économistes ont-ils eu l’idée d’estimer au plus près le coût du temps et de l’énergie perdus chaque jour à cause des embouteillages à l’entrée et à la sortie de la capitale ? La facture sera sans doute lourde. Le matin en arrivant aux portes de Tunis, par les autoroutes du Sud, de Bizerte ou de Béja, mais aussi d’autres routes, et l’après-midi en partant, des milliers de véhicules, entre automobiles, camions et bus subissent la même épreuve : les bouchons interminables. Obligés à rouler au pas sur une bonne dizaine de kilomètres, retardés de leur travail, pénalisés en surconsommation d’hydrocarbures, les conducteurs sont en outre bien contrariés dans leur humeur. Pourtant la solution est facile à mettre en place.
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Il n’y a pas de fatalité. Plus du 1/3 de l’activité qui se fait à Tunis peut aisément se passer à l’intérieur. 5 tunisois qui se déplacent à l’intérieur contre 50 à 100 en sens inverse avec leurs véhicules. Encore une fois il faut courage et volonté.
Ce désordre et ce manque de civisme de la part des conducteurs causent cet embouteillage. Il faut supprimé la 03em et la 04em voie par une glissière en béton + rajouter une 03 voie à la bifurcation de Tunis et ourdia.