Leaders El Arabiya : Tout ce qu'il faut savoir sur le contrôle public, ses prérogatives, ses méthodes de travail et ses composantes
Dans son numéro de janvier, Leaders el Arabiya jette une lumière nette sur le système de contrôle public en Tunisie qui a vu ses prérogatives s’étendre après la révolution, notamment pour lutter contre la corruption et améliorer les méthodes de gestion publique dans le cadre d’une approche qui privilégie la prévention avant la répression. Le dossier s’intéresse à toutes les composantes de ce système et à ses méthodes de travail, ainsi qu'au sort réservé aux rapports publiés tout en s'interrogeant sur le point de savoir dans quelle mesure ils sont pris en compte.
Dans sa chronique, Rachid Khéchana fait le bilan de cinq de justice transitionnelle et notamment de celui de Sihem Ben Sedrine. A ce propos, il relève dans ses interventions à la presse, s'agissant notamment des statistiques, d'approximations, certainement dans le but d'effacer l'image négative qui est restée de son mandat. il a ajouté que les mécanismes mis en place par l'IVD auraient dû être inspirés des expériences sudafricaines après le Chûte du régime de l’apartheid, du Maroc ainsi que des pays d’Euope orienrtale après la chute du mur de Berlin et de l’Amérique latine après la restauration de la démocratie. Enfin, il déplore le fait qu'une occasion historique de consacrer la justice transitionnelle ait été ratée parce qu'elle ne se reproduira pas de si tôt «car les peuples n'ont pas recours à la justice transitionnelle tous les cinq ans».
Dans un article sur l'Aleca, le président du Forum diplomatique, Mohamed El Yassir fait un historique des relations de la Tunisie avec la communauté européenne , puis avec l’Union européenne avant d'analyser les possibles retombées d'un accord de l'Aleca sur l’économie tunisienne et de proposer une une approche susceptible de sauvegarder les intérêts du pays.
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