Qui est Omar Behi Ministre du Commerce
Né le 14-03-1975 à Tunis, marié, deux enfants.
Nationalité: Tunisienne
Ministre du Commerce de la République Tunisienne
Docteur en Sciences Agronomiques (depuis 2003) – Université de Montpellier
Expérience professionnelle
De Sept. 2016 à Sept. 2017: Secrétaire d’Etat à la Production Agricole, Ministère de l’Agriculture et des Ressources Hydrauliques de la République Tunisienne
Octobre 2010 à Août 2016: Maitre-Assistant à l’Institut National Agronomique de Tunisie (INAT)
Sept. 2006 à Sept. 2010: Assistant à l’Institut National Agronomique de Tunisie (INAT)
Juin 2004 à août 2006: Attaché de recherche de l’INRAT affecté au sein du laboratoire d’Agronomie
Mars 2004 à Mai 2004: Chercheur contractuel au laboratoire d’Agronomie de l’INRAT
Déc.1999 à Juillet 2003: Elève chercheur à l’Ecole des Mines d’Alès dans le cadre d’une convention de recherche avec l’INRA Montpellier
Rôles et contributions
2012 à 2016: Trésorier de l’Union Tunisienne de l’Agriculture et de la Pêche (UTAP) puis Vice-président (depuis 2013) chargé de la production animale et de la recherche scientifique
2013 à 2016: Membre du conseil du Groupement Interprofessionnel des Viandes Rouges et du Lait (GIVLAIT) et Président depuis 2016
2013 à 2016: Membre du conseil d’administration de l’Office de l’Elevage et de Pâturage (OEP)
2013 & 2015: Président du pavillon de l’élevage au Salon International de l’Agriculture, du Machinisme Agricole et de la Pêche (SIAMAP)
2012 à 2013: Membre du conseil d’administration de l’Office des Céréales
2012 Membre du conseil d’administration de l’Institut National des Grandes Cultures (INGC)
Travaux de recherche
Mars 2004 à ce jour: Développement de travaux de recherche sur le raisonnement de la fertilisation azotée des céréales basé en amont sur la méthode du bilan prévisionnel et en aval sur le développement d’outils d’aide à la décision.
Septembre 2004: Mise en place d’une convention de recherche entre la Société Tunisienne d’Engrais Chimiques et le laboratoire d’agronomie de l’INRAT pour « L’étude de la faisabilité de l’utilisation de l’urée comme engrais azoté sous forme de granulés pour la fertilisation des blés en Tunisie». Cette convention est financée par la STEC pour une durée de 3 ans.
Déc. 1999 à Juillet 2003: Modélisation des systèmes complexes par composition-décomposition en sous-ensembles : Application à la biodisponibilité du phosphore provenant de phosphates naturels, dans le cadre de la Thèse de Doctorat effectuée sous l’égide d’une convention entre l’Institut National de la Recherche Agronomique de Montpellier et l’Ecole des Mines d’Alès.
Janvier à Juillet 1999: Effet de la granulométrie d’un phosphate naturel du Maroc (Daoui) sur sa dissolution et la biodisponibilité du phosphore, dans le cadre du mémoire de DEA Science du Sol effectué au Laboratoire Sol et Environnement de l’INRA Montpellier
Janvier à Juin 1998: Essai de pilotage de l’irrigation de la pomme de terre dans le cadre du projet de fin d’étude du cycle ingénieur de l’INAT.
Formation et diplômes
Juillet 2003: Thèse de Doctorat de l’Université Montpellier II en Génie des Procédés-Science du Sol. Admis en équivalence du Doctorat en sciences agronomiques.
Juillet 1999: Diplôme d’Etudes Approfondies en Science du Sol à l’Institut National Agronomique Paris-Grignon. Admis en équivalence du Mastère en science du sol.
1995-1998: Diplôme National d’Ingénieur en Agronomie Spécialité Productions Végétales option Cultures maraîchères. Cycle ingénieur à l’Institut National Agronomique de Tunisie (INAT).
1993-1995: Classes préparatoires aux Ecoles Agronomiques à l’Institut National Agronomique de Tunisie (INAT).
Langues
Arabe: courant (Langue maternelle) Français : courant Anglais : courant
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Nchallah Mabrouk pour la Tunisie .Et si tous nos compétences rentrent au pays comme celui là ... nous combattrons alors un peu plus efficacement le sous développement !
Pour la réussite du pays et de chacun dans son domaine et chaque membre du gouvernement doit suivre la feuille de route que le premier ministre ne manquera pas d'en saisie chaque membre du gouvernement et doit rendre conte sur ses performance sur son devoir et expose les résultat de ses efforts. Pour l’intérêt du pays et des citoyens.
Il est clair que ses travaux de recherche sont très pertinents et utile pour le développement agricole. Il a occupé des postes clés de responsabilité dans le Ministère de l'agriculture. La question qui s'impose alors : pourquoi il n'a pas exploité les résultats de ses recherches et les mettre en application pour améliorer le sort de notre agriculture qui demeure encore très artisanale et non productive? Est-ce que les maux de l'Administration Tunisienne (bureaucratie, les enjeux financiers qui sont à l'encontre de certains détendeurs du pouvoir, etc.) ou le manque d'audace et d'initiative chez ce nouveau ministre (un profil non adéquat) qui explique ce déficit d'application?