«Erraïs» un nouveau livre sur Caïd Essebsi
Après avoir répondu aux questions d’Arlette Chabot pour un livre d’entretiens destiné au public francophone, c’est à un journaliste tunisien, Mondher Bedhiafi, que le président Béji Caïd Essebsi a accepté de se confier. Au fil d’une dizaine d’entretiens en profondeur, les propos ont porté sur l’exercice du magistère, avec retour sur des étapes marquantes du parcours, les grandes balises de l’histoire récente de la Tunisie. L’ensemble est nourri de témoignages de personnalités qui connaissent BCE de longue date et de l’analyse de documents significatifs. Conçu à la manière de nombre de livres du même genre récemment parus en Europe, structuré autour de thèmes centraux alimentés au fur et à mesure des propos recueillis, le livre de Bedhiafi s’annonce parmi les stars de la Foire du livre du mois de mars prochain.
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La démocratisation de la Tunisie n'est pas encore établie. La finalisation de la composition du Conseil supérieur de la magistrature est loin d'être réussie. Sans l'établissement du Conseil constitutionnel on ne peut jamais parler d'une démocratie. Ces deux Conseils sont le garant de la démocratie (voir USA et Trump). Ces deux Conseils représentent un symbole de stabilité politique et économique pour tout investisseur étranger. Le Conseil constitutionnel garanti le survivre de l'élite politique et diminue le nombre des grèves pour des raisons artificielles. Le manque de ces deux Conseils fait preuve de manque de consensus en Tunisie et de risque d'instabilité.