Mohamed Derbel : « Un ascenseur émotionnel, de joies et de tristesses, la fierté l’emportant ! » (Vidéo)
En débobinant dans sa tête les dix dernières années de la Tunisie, Mohamed Derbel revient sur des moments heureux. Il se souvient de la première fois où, un 23 octobre 2011, il avait trempé le doigt dans l’encre pour voter, ou du 26 janvier 2014, lorsque la nouvelle constitution a été votée. Mais, la mort dans l’âme, il ne peut oublier l’assassinat de Chokri Belaid et Mohamed Brahmi ainsi que les attaques terroristes de Ben Guerdane, du Bardo et contre des éléments de la Garde présidentielle. La conclusion que Mohamed Derbel en tire, est un sentiment de fierté : celle d’avoir fait triomphé les idéaux des Tunisie et d’avoir vaincu l’obscurantisme.
Evidemment, Derbel est acquis à la démocratie. Il regrette cependant qu’elle s’est réduite à son caractère institutionnel sans favoriser une large implication des Tunisiens dans sa mise en œuvre au concret. D’où son appel à travailler et s’impliquer.
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Le texte intégral inséré dans le livre "Tunisie, Dix ans et dans Dix ans"
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