Rejoignez la BAD

L’offre est alléchante : la Banque Africaine de Développement recrute. Pour renforcer ses équipes au siège à Tunis, et pour ses 25 bureaux extérieurs implantés sur le continent africain, elle cherche des candidats de haut niveau « désireux d’exercer leurs multiples talents » dans

• Economie de développement
• Gouvernance
• Gestion du risque
• Statistiques
• Secteurs privés de développement
• Finance
• Audit et investigations
• Développement durable
• Infrastructure
• Changement
• Ressources humaines
• Intégration régionale
• Agriculture et agro industrie
• Développement humain.

Des détails sont disponibles sur le site : www.afdb.org/jobs

A noter qu’une vingtaine de tunisiens occupent actuellement des postes de haut niveau au sein de la BAD. On y compte notamment, le polytechnicien Lotfi Chakroun, ancien de la STUSID, et qui est passé de la direction des Opérations à la tête de la direction de l’Informatique, Taoufik Rajhi, Assistant de l’Economiste en Chef, Ghazi Ben Ahmed, ancien de l’OMC, affecté au département de m’intégration régionale et de l’infrastructure et Chawki Chahed, ancien journaliste à La Presse, actuellement en charge de la communication au sein de l’Unité des Relations Extérieures et de la Communication. Deux femmes tunisiennes méritent une mention spéciale : Leila Mokaddem Chef de service du développement du secteur privé et Héla Cheikrouhou, Chef de service du Partenariat Public Privé. Le Département du secteur privé vient d’enregistrer cette année un record exceptionnel de ses approbations passée à plus de 1 milliard de dollars, soit 400 millions de $ de plus que l’année précédente.

La BAD, juste pour mémoire avait été dirigée de 1970 à 1976 par le Tunisien Abdelwahab Laabidi, et a avait accueilli parmi ses équipes de grandes compétences tunisiennes, telles que M. Mustapha Meliane dont le dernier poste était la direction du bureau de la BAD au Maroc.

De nombreuses autres opportunités s’offrent aux consultants, bureaux d’études et entreprises pour l’exécution des projets financés par la BAD. Une procédure simplifiée est d’ailleurs mise en place pour inciter ces opérateurs à s’inscrire sur les fichiers spécialisés.

Par ailleurs, le financement du secteur privé est éligible aux entreprises tunisiennes qui gagnent à bien connaître les démarches appropriées et tirer bénéfices des ressources disponibles.