Privatisation de Dar Assabah : Le groupement Dhehibi – AFC – Ferchiou retenu pour accompagner Al Karama Holdindg à concrétisation
C’est le groupement Cabinet Salah Dhehibi – AFC (Intermédiaire en Bourse) - le Cabinet d’Avocats Ferchiou qui a été retenu par Al Karama Holding pour l’accompagner dans le processus de cessions des parts (79.624%) revenant directement et indirectement à l’Etat du capital de la Société tunisienne de presse, d’impression, d’édition, de diffusion et de publicité Dar Assabah.
Comme EY pour Shems Fm, il s’agit pour Dar Assabah de procéder notamment à une due diligence ainsi que l’estimation de la valeur de l’action et du bloc, l’élaboration et la mise en œuvre d’une stratégie de marketing, et l’appui à l’aboutissement du processus de cession.
Créée sous forme de société anonyme le 1er octobre 1969, son capital social s’élève à 1.008.880 DT. L’exercice 2015 affiche un total bilan de 5.197.674 DT et un résultat net négatif de 1.456.493 DT.
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Et qu'en est-il de la famille Cheikhrouhou ?
La privatisation de Dar Essabah s'est depuis longtemps transformée en énigme : Dar Essabah a été récupéré des mains du groupe - devenez lequel ! - à qui a profité cette honteuse spoliation. Les membres de ce groupe, la famille Cheikhrouhou sont toujours là, Dieu merci, et seraient heureux de récupérer leur bien, naturellement après remboursement des sommes dont ils avaient dû se contenter, bien malgré eux, sous Ben Ali, leur principal suborneur et spoliateur. Il aurait tout naturel, et bien simple, de transiger avec cette famille, qui tire sa légitimité de feu Habib Cheikhrouhou, le fondateur du groupe. Simple, légitime et naturel.... mais c'était compter sans les fonctionnaires timorés et jusqu'au-boutistes qui se sont arrogé le droit de décider du devenir de Dar Essabah ! Des fonctionnaires charognards, trop heureux de mettre à l'encan un pan du patrimoine national, qui aurait dû revenir à ses titulaires naturels...
Pourquoi avez-vous censuré mon commentaire d'hier ? Qu'ai-je pu dire qui ait fait grief, et à qui ?Comme je pense qu'il s'agit d'un "malencontreux malentendu", je vous le repropose ci-après : La privatisation de Dar Essabah s'est depuis longtemps transformée en énigme : Dar Essabah a été récupéré des mains du groupe - devenez lequel ! - à qui a profité cette honteuse spoliation. Les membres de ce groupe, la famille Cheikhrouhou sont toujours là, Dieu merci, et seraient heureux de récupérer leur bien, naturellement après remboursement des sommes dont ils avaient dû se contenter, bien malgré eux, sous Ben Ali, leur principal suborneur et spoliateur. Il aurait tout naturel, et bien simple, de transiger avec cette famille, qui tire sa légitimité de feu Habib Cheikhrouhou, le fondateur du groupe. Simple, légitime et naturel.... mais c'était compter sans les fonctionnaires timorés et jusqu'au-boutistes qui se sont arrogé le droit de décider du devenir de Dar Essabah ! Des fonctionnaires charognards, trop heureux de mettre à l'encan un pan du patrimoine national, qui aurait dû revenir à ses titulaires naturels...
